Clouée au lit => moral à zéro
Publié : 26 sept. 2010, 15:19
Salut à tous,
Je suis à nouveau clouée au lit, et ça fait déjà quasiment un mois que j'y suis déjà clouée (+ aspirine et antibios).
Motif ? Récidive de péricardite (diagnostic de la cardiologue) + angine bactérienne (dixit la généraliste).
Je finis normalement l'antibio ce soir et demain, retour chez ma généraliste pour savoir comment je fais avec l'aspirine, mon état ne s'améliorant pas des masses.
Donc, j'ai le moral à zéro.
En effet, tout effort m'est strictement interdit sous peine d'aggraver ma péricardite, et la cardiologue m'a brandi l'épouvantail de l'insuffisance cardiaque si je ne soigne pas ma péricardite (ma généraliste a non seulement abondé dans son sens mais en plus, elle en a rajouté 3 couches. Je sais, je dois rester clouée au lit
).
Je ressens pourtant le besoin de bouger, j'ai hâte d'aller à la piscine et le manque d'exercice me rend hyper nerveuse et insupportable pour moi et mon entourage.
Et pourtant, j'ai encore un mois à être clouée au lit, si ce n'est plus ! :'(
Bref, moral dans les chaussettes, sans compter le fait de ne pas pouvoir faire les choses les plus simples du quotidien (pas même la cuisine ou la vaisselle) : sentiment patent d'inutilité :'(
Je suis à nouveau clouée au lit, et ça fait déjà quasiment un mois que j'y suis déjà clouée (+ aspirine et antibios).
Motif ? Récidive de péricardite (diagnostic de la cardiologue) + angine bactérienne (dixit la généraliste).
Je finis normalement l'antibio ce soir et demain, retour chez ma généraliste pour savoir comment je fais avec l'aspirine, mon état ne s'améliorant pas des masses.
Donc, j'ai le moral à zéro.
En effet, tout effort m'est strictement interdit sous peine d'aggraver ma péricardite, et la cardiologue m'a brandi l'épouvantail de l'insuffisance cardiaque si je ne soigne pas ma péricardite (ma généraliste a non seulement abondé dans son sens mais en plus, elle en a rajouté 3 couches. Je sais, je dois rester clouée au lit

Je ressens pourtant le besoin de bouger, j'ai hâte d'aller à la piscine et le manque d'exercice me rend hyper nerveuse et insupportable pour moi et mon entourage.
Et pourtant, j'ai encore un mois à être clouée au lit, si ce n'est plus ! :'(
Bref, moral dans les chaussettes, sans compter le fait de ne pas pouvoir faire les choses les plus simples du quotidien (pas même la cuisine ou la vaisselle) : sentiment patent d'inutilité :'(