C'est quoi ça ? varan salamandre ...
Publié : 21 août 2005, 04:00
Il y a des noms qui s'inscrivent en dessous de nos photos
quand on rédige un message comme varan ou salamandre, qu'est-ce que cela signifie ?

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Non non, pas tout à fait ! Il y en a encore un que je trouve un peu... prétentieux (voir à gauche de ce messagepascal a écrit :au Tyranosaure Rex pour les plus bavards.
bodha a écrit :dieux grecsJupiter...
Non on les met dans l'ordre de taille... Donc ie et le plus petit, tellement petit qu'il n'y as aucun message... En plus c'est logique, au debut quand on ne connais rien à internet on est un ie, puis à force on grandit jusqu'à être un mozilla...Benoit a écrit :Sinon, j'avais pensé à mettre "Internet Explorer" à 8000 messages, vous en pensez quoi ? :p
Je sais qu'il a été plusieurs fois proposé de revoir les seuils, pour certains depuis longtemps dépassés, mais ce serait moins sympa pour les nouveaux qui ont bien le droit de progresser aussi vite à leurs débuts que les "anciens".
Ça va être difficile de trouver plus grosjv2759 a écrit :Ou alors ajouter de nouvelles bêtes...
Pas forcement plus gros, mais des intermediaire... Puis faire des décalage...Benoit a écrit :Ça va être difficile de trouver plus grosjv2759 a écrit :Ou alors ajouter de nouvelles bêtes...
Jusqu’où descend l’escalier de l’infiniment petit, jusqu’où monte celui d l’infiniment grand ? Je convie le lecteur à vivre les épisodes avec les voyageurs de l’infini. ... Les deux voyageurs finissent par se rencontrer sur la plage, au bord d’un océan d’où surgissent les mondes et les univers issus d’une force créatrice qui exclut le néant... »
Paul Couteau : LE GRAND ESCALIER éd. Champs Flammarion p. 11-12 Oct. 1995
Pour faire comprendre l'infinité des formes de l'univers matériel, Paul Couteau a eu recours à un artifice particulièrement heureux : si l'on descend vers l'infiniment petit ou si l'on monte vers l'infiniment grand, on change d'échelle, on se tient alors sur les marches d'un grand escalier qui se perd à l'infini. Chaque marche correspond à un ordre de grandeur. Paul Couteau parcourt ce GRAND ESCALIER avec une belle vigueur, et s'arrête sur chaque marche pour en expliquer les singularités, et en faire admirer les perspectives vertigineuses. Le lecteur profane découvre avec plaisir, mais avec rigueur aussi, les moeurs étranges des particules, comme il survolera le monde des planètes, des étoiles, des galaxies, des astres cosmiques, pour évoquer finalement le début des Temps. Un propos rigoureux et savant, une construction méthodique accompagnent un style d'une grande clarté, qui ne dédaigne pas des exemples de la vie quotidienne ou le recours à une imagination proche de la science-fiction et du cinéma