Geckozone

- Fondation, Institut, Observatoire, le tout privé -

Très intéressante discussion sur les fondations privées qui dans bon nombre de pays se présentent comme des centres de recherche indépendants.

En France, cela va même jusqu’à : Observatoire, Institut - en l'occurence de sondages - , mais ils ne sont que sur des fonds privés ; ainsi les employés ne répondent qu’à un contrat de travail, ils n’ont donc aucune indépendance, le fameux contrat de travail liant le salarié à son employeur, tout autant qu’à sa mission, le mandat pour lequel il est employé.

Un truc pour la promotion du racisme, de la ségrégation ne va pas employer des perosnnes qui y sont opposées.

Toutes ces structures à terme spolient le débat public, car en réalité ce sont des groupes de pression qui ont constamment accès aux médias pour vendre des opinions et non de la science.

2 universitaires, émission québécoise, les Francs-Tireurs du 15 mars 2019, sur Téléquébec => http://dl.free.fr/getfile.pl?file=/wBYKWSue <=

En France ...Pour le moment la pression max vient de l'état via les subventions des journaux.
Sans compter les participations de personnalité "croquées" investissant volontairement à perte dans des journaux.
La seconde pression vient des journaleux, formés principalement a gauche.
Et si on rajoute l'influence de certains milliardaires finançant la mondialisation.
Pour mémoire dixit la tribune 500 millions d'euros pour les migrants en 2016
Bref, il y a visuellement plus de promotions pour l'antiracisme que le contraire

Pour résumer, faudrait arrêter d'essayer de nous prendre pour des cornichons.

Ce forum ne doit pas être un lieu de propagande quelque soit le bord, et doit rester un lieu d'entraide, sans être pollué par des sujets tendancieux.

Ps.. je le lirais pas une éventuelle réponse... Pas confondre "pigeon" et "on pige"...

Merci d'avance au modérateur pour verrouiller ce fil.

Sur quoi se base votre propos, certainement pas sur mon écrit, vous êtes allé jusqu’à inventer ce que j’aurais ou non écrit.

Les journaux en France n’étant pas subventionnés, vous avez confondu des aides au développement et à la modernisation avec subvention de manière générique, alors que ses aides ne sont pas données en permanence et qu’il faut remplir un dossier de demande, sans qu’il soit nécessairement accepté.
Les aides ne concernant que la presse écrite ou en ligne et ne sont pas permanentes, mais ponctuelles et par formulaire de demande.

La presse (écrite ou en ligne) d’extrême droite a le droit d’y avoir, elle aussi, accès. Elle ne se gêne pas pour en faire la demande et en bénéficier.

Peut-être auriez-vous de lourdes difficultés à comprendre et votre imaginaire prendrait le dessus.

Il est question des fondations, observatoires, instituts, privés qui ne font pas de la recherche, de la science, toute tendance politique confondu, mais font de l’opinion politique, spoliant – de spolier, de spoliation : voler – ainsi tout débat public.

Il est bien marqué Tribune Libre et ce n’est qu’un lien sur une conversation entre 3 personnes, un journaliste et 2 universitaires spécialisés sur ce type de structure.

Tribune libre
Quand tout est (trop ?) bien organisé, il y a besoin d'une ouverture. Ici on parle de tout, mais pas de n'importe quoi, vous êtes prévenus.

Je me suis dit de quoi il parle avec ses 500 millions d’€ et migrants.

Apparemment, il ne maitrise pas plus son affaire, parce que c’est 500 millions de $ US et non € ; et ce n’est pas pour l’immigration.
C’est investir dans des entreprises tenues par des immigrants et des réfugiés, donc légaux et non clandestins, pas plus que d'organiser l'immigration.

C'est un Fond d'investissement privé, une firme spéculative, coté en bourse => https://www.nasdaq.com/quotes/instituti ... -llc-35125 <=

Why I’m Investing $500 Million in Migrants
I will invest in startups, established companies, social-impact initiatives and businesses founded by migrants and refugees.

The Wall Street Journal => https://www.wsj.com/articles/why-im-inv ... 1474344001 <=

À cela, puisque c’est un phénomène de mode, migrant n’a jamais voulu dire clandestin, mais travailleur légal issu d’un flux migratoire.

Toujours sans aucun rapport avec la Fondation, l’Observatoire et l’Institut.